snippet here. --> Préparer la sexualité de son enfant - L'Enfance en Confiance

Préparer la sexualité de son enfant

Quand mes enfants sont nés, j’avais à cœur que plus tard, ils n’aient aucun tabou, qu’ils sachent aimer et respecter leur corps comme celui des autres, qu’ils puissent donc être épanouis, libres sur le plan sexuel également.
Ce fut assez naturel pour moi, mais, dans mon entourage, j’ai pu constater des critiques assez violentes, des incompréhensions … 
Alors, je me suis dit que faire le point pourrait peut-être t’aider à ton tour !

Les protéger des écrans ?

De nos jours, il est difficile pour nos enfants, nos ado de se faire une idée « normale » de la sexualité … Avec l’accès à internet, nous ne pouvons plus vraiment les protéger des photos ou vidéos d’une sexualité dégradantes pour les femmes, notamment, mais aussi pour les hommes sous un autre aspect …

Comment, en tant que parents pouvons-nous réussir à rassurer nos enfants sur leur sexualité ? Il ne s’agit pas là de dire que certaines orientations sont meilleures que d’autres, mais bien d’accompagner son enfant dans la découverte, le respect de son corps et de ses désirs, en mettant, nos propres « préférences » de côté.

Importance du développement psycho-sexuel de l'enfant

J’ai bien aimé cette définition de Wikipédia très complète : « Le terme sexualité englobe :

  • les phénomènes de la reproduction biologique des organismes,
  • les comportements sexuels permettant cette reproduction,
  • et enfin les nombreux phénomènes culturels liés à ces comportements sexuels. »

L’enfant dès qu’il né, possède ses organes génitaux qui vont “maturer” à l’adolescence pour être “en état de marche” … Ce que l’on sait moins, c’est que pendant toute son enfance, il va aussi pouvoir les découvrir … Si, si, si !! Comme le reste de son corps d’ailleurs …

C’est, donc, dès sa naissance qu’on peut influer sur la Vie sexuelle de son enfant. Eh Oui !!

Le tout petit va jouer avec ses parties génitales. C’est important de le laisser faire car cela peut avoir des conséquences très négatives de le lui interdire ou de l’en empêcher, sur son plaisir sexuel futur et, parfois même, sur la possibilité d’avoir des enfants, et bien plus encore !
En jouant avec son sexe comme avec le reste de son corps (j’entends des « Oh » et des grincement de dents !!), il se l’approprie, il apprend à le/se connaître. Il crée une partie de son “Schéma Corporel” qui lui est important pour se sentir sécurisé, être à l’aise, connaître ses limites, ses besoins … Bref, incontournable pour la confiance en soi ! Cette confiance joue à tous les niveaux de la Vie (social, scolaire, intimité, professionnel, etc).

Donc, non, votre bébé n’est pas un obsédé sexuel, il se découvre juste !

Je parlais, donc, de l’importance de découvrir son corps car cela pouvait influer sur sa fécondité par le biais des émotions vécues dans son enfance au niveau sexuel. Sais-tu que le cycle féminin est intimement lié à ce que vit la femme, donc à ses émotions ? Une ovulation peut avoir lieu à la suite d’un choc par exemple, l’inverse aussi peut se produire … Je l’ai appris à mes dépends quand j’étais jeune et hélas, jamais on ne m’en avait parlé auparavant … Comme de comment se protéger sans pilule non plus d’ailleurs !

Permettre le dialogue à ce sujet, à la maison, en classe est aussi très important pour que le jeune soit outillé et puisse réellement se responsabiliser pour bien maîtriser sa sexualité avec tout ce que cela comporte : se protéger des maladies sexuellement transmissibles, maîtriser sa fécondité en respectant son corps et ses valeurs, trouver de l’aide si nécessaire, savoir dire non, respecter le corps de l’autre …

La maîtriser mais aussi bien la vivre !!!
Mon Dieu, Isa, mais le chantier est immense, on fait comment nous ??!

pour t’aider à mieux accompagner ton enfant
sur le chemin de sa sexualité, 

Contacte-moi !!

J'ai peur que mon enfant ait une sexualité hors normes !

Outre le fait de laisser son enfant se découvrir, se toucher. Il est important aussi d’avoir des attitudes qui ne l’enferment pas dans des schémas figés.

Lorsque j’étais jeune maman, nous sommes allés visiter des amis, j’ai été estomaquée, choquée de voir que la maman a mis une claque à son fiston (pas plus de 3 ans) en lui hurlant dessus, parce qu’il voulait jouer aux Barbies de sa grande sœur !! Imaginez, le message envoyé à l’enfant ?
Eux-mêmes étaient, également, choqués de voir que nous laissions notre fiston cul nu. En effet, outre le fait de le laisser se découvrir, je pratiquais l’Hygiène Naturelle Infantile et je le laissais évoluer sans couche, laissant ses parties intimes à l’air. Ils étaient choqués de les voir … Mon fils ne marchait pourtant, même pas !
je crois que depuis, nous ne les avons pas revu …

Certains parents ont peur que leur enfant devienne homosexuel. Si c’est votre cas, lui interdire de jouer avec certains jouets, lui interdire de s’habiller en certaines couleurs va-t-il déterminer sa sexualité ou son bonheur de vivre ?

Avez-vous fait des enfants pour qu’ils soient hétérosexuels ou pour qu’ils soient tout simplement heureux et fiers d’être qui ils sont ?

Rassurez-vous, la sexualité de votre enfant ne vous détermine en rien. Oui cela peut gêner mais, si c’est le cas, il est possible d’en discuter avec votre enfant (ou avec un professionnel !) en le lui exprimant de façon bienveillante. Le but n’est pas de se mentir, ni dans un sens ni dans l’autre !

Votre enfant ne peut pas choisir sa sexualité, avez-vous choisi d’être hétérosexuel ? Non, c’est comme ça, ça ne s’explique pas …

Définir quelqu’un par son orientation sexuelle, par sa couleur de peau, ou encore son métier, c’est le réduire à un seul aspect de lui-même. Nous sommes humains avant tout et, tous les humains naissent libres et égaux ! Ça fait déjà un moment, quand même, que c’est acté !

Le but de cet article est de t’outiller pour instaurer un climat de confiance entre toi et ton enfant à ce sujet, de te montrer des pistes que tu pourrais, ou pas !

L'Hygiène Naturelle Infantile

Lorsque nous habillons nos bébichoux de la tête aux pieds, cela les empêche d’avoir accès à leur sexe … Vous avez peut-être entendu parler de l’HNI (= Hygiène Naturelle Infantile) ? C’est la possibilité d’élever son enfant sans couche !!!

Oui, en effet ! Lorsqu’on pratique l’HNI, il faut accepter de voir ses parties intimes et bien-évidemment, éviter à son loulou d’attraper froid : il y a plein d’astuces pour ça et même de vêtements faits exprès, qui laissent l’accès libre aux parties génitales … 
Hey ! Mais faut être tout le temps à l’affut des envies de bébé ou ramasser constamment ses déjections ???!
Les mamans qui le font, développent une communication assez forte avec leur bébé, et ne sont pas à l’affut mais à l’écoute de leur bébé. J’ai déjà dû t’en parler, mais, le bébé a un langage très subtil avant de passer aux pleurs … Ces mamans (et bien d’autres qui ne pratiquent pas l’HNI), réussissent à décoder tout cela. Personnellement, j’avais pratiqué l’HNI avec les signes pour bébés. Mon loulou avait créé un signe pour me dire qu’il avait envie de se soulager … Du coup, hop, direction les toilettes ou un pot, et le tour était joué !

J’ai alterné avec les couches car parfois ça me semblait trop compliqué, selon le lieu où j’étais (dans un TGV, au restaurant, etc). Il est important aussi de se respecter soi-même.

Si tu ne souhaites pas pratiquer l’HNI, il est toujours possible de laisser de temps en temps, ton bébé cul nu en-dehors du bain. ainsi, il pourra explorer ses parties intimes, à ces moments-là ! (ou pas, hein, c’est lui qui voit !).

Bien évidemment, on ne l’incite à rien et on ne l’aide à rien ! Il fait seul ou pas, c’est lui qui décide et uniquement lui !!! Je préfère préciser, au cas où, pour certains ça ne serait pas clair (le sujet est sensible !).

D’ailleurs, les bébés garçons qui ont eu accès à leur sexe, n’ont généralement pas de problème de décalottage car ils le font eux-mêmes. Ainsi, on évite de tripoter l’enfant pour rien lors des visites chez le médecin qui s’apparente parfois à de la torture pour eux ou même, lors des soins. Je ne parle pas des cas particuliers de maladie à ce niveau.

Lorsqu’il va grandir, ton enfant va peut-être s’amuser innocemment avec ses parties intimes comme s’il jouait avec ses jouets … Hum, oui, c’est agréable, ça fait du bien donc pourquoi pas après tout ?!
Mais, être libre d’avoir accès à ses parties génital, ne veut pas dire n’importe où ! sauf pour les bébés (< 2 ans).

Comment l'accompagner dans sa sexualité en pratique

Tu t’imagines, toi, à l’adolescence de ton enfant, avoir le type d’interaction, comme sur cette photo, sans même avoir préparé le terrain avant ? Sans avoir jamais parlé de sexualité avec ton enfant pendant son enfance ???  Moi, non !!

Ton attitude, face à ton enfant, va jouer un rôle très important dans cette confiance en lui, dans cette autorisation à l’accès au plaisir.

D’abord, il y aura ton attitude lors des soins que tu lui prodigueras dès sa naissance (et pas que toi, d’ailleurs, mais tous ceux qui s’occuperont de ton bébé !). Il est donc important de préciser aux personnes qui gardent bébé de comment tu souhaites qu’il soit changé, habillé, baigné, etc. En effet, lors de tous ces moments, nous allons le toucher, le manipuler et il n’en aura peut-être pas envie. Les gestes sont donc vraiment importants et peu de parents comme de professionnels connaissent les bons gestes. On a souvent tendance à prendre nos enfants comme un paquet de viande que l’on trimbale/manipule …

L’important est d’être doux et respectueux de son corps, de ce qu’il ressent. J’ai créé une méthode PABESR que je transmets dans tous mes cours de portage et de parentalité, car ces gestes aident aussi à plus facilement porter son enfant (il se laissera plus faire) !!

J’ai décidé, de mettre cette méthode à disposition de manière détachée de tout autre enseignement afin que tout le monde y ait accès facilement. Découvre ce qu’elle t’apportera !

  • La pudeur

Lorsqu’il sera plus grand aussi, il faudra continuer à le respecter et adapter ton attitude, tes gestes face à sa pudeur qui naîtra plus ou moins tôt chez lui/elle.

  • Nos réactions

Lorsque tu surprends ton loulou en train de se toucher, dans une pièce commune ou pendant le repas, rappelle-toi qu’il se découvre, qu’il joue comme il jouerait avec n’importe quoi.

Il est contre-productif et même nocif de crier ou de punir.

Oui, en effet, ça pourra fonctionner et faire stopper à ton enfant toute envie/besoin de se découvrir ou, à l’inverse, un désir encore plus ardent dû à l’interdit … Et ni l’un ni l’autre ne sont bons à prendre …

Respire et dis-lui qu’il peut le faire mais, quand il est seul et uniquement dans sa chambre ou la salle de bain … S’il y est, alors, excuse-toi et reviens plus tard.

Notre corps parle pour nous, donc, si tu ne cries pas, mais qu’à l’intérieur tu exploses, il le ressentira aussi. C’est un vrai travail à faire sur soi aussi … Et je peux t’accompagner à travailler dessus.

Lorsque ton enfant plus grand, abordera le sujet, il ne s’agira pas de fuir … Juste de répondre avec tes mots à toi (adaptés à sa réalité). Il ne s’attend pas à un cours de 2h mais il va, à ce moment-là, voir si tu es ouvert et s’il peut compter sur toi, à ce sujet.

De la même manière, engueuler ton ado parce qu’il parle mal des relations sexuelles ne va pas l’aider mais en revanche, lui demander pourquoi il en parle comme ça, reformuler ce qu’il vient de dire avec des mots softs et respectueux, lui offrir un livre, etc pourront l’aider à changer d’attitude.

                3.            Dialoguer

Je crois que je ne le dirais jamais assez, les mots ont un impact, rien qu’à eux … Généralement, nos mots sont liés à notre attitude … Donc, quand on change l’un des deux, l’autre devrait en être impacté tout naturellement !

Lorsque tu prends soin de ton enfant, ce que tu lui dis, est important. Il doit savoir ce qui l’attend, quel que soit son âge, d’ailleurs et d’autant plus, quand il est tout petit et n’a pas conscience de ce qu’il se passe.

L’enfant doit entendre que tu le respectes physiquement, émotionnellement et dans ses valeurs propres aussi. Il a le droit d’aimer, de croire différemment de nous.

Mais il doit, aussi, entendre ce que, toi aussi, peux ressentir. Pour cela, il faut faire attention à ne pas le culpabiliser non plus.

Lorsqu’on parle de sexualité, on touche à quelque chose d’encore tabou. Laisse donc, ton enfant venir à toi. Lance des perches, de temps à autres, quand le moment te le permet.

Lorsque nous regardons la télé, les informations, un film ou un documentaire, nous avons parfois des réactions verbales. On réagit et on discute (parfois seul !), certains s’amusent à lancer des blagues sexistes, mais ces blagues, surtout si elles sont systématiques, risquent de biaiser la compréhension des choses de l’enfant qui les entend en permanence.

Le “Parler Vrai” est important, même si l’humour est nécessaire aussi pour aborder certains thèmes de façon plus légère. L’ironie et l’humour noir peuvent, à force, s’ancrer comme des valeurs chez certains enfants. Ils ont inconsciemment imprimés ces croyances en eux …

La manière, aussi, dont tu dialogueras habituellement permettra à ton enfant d’être à l’aise ou pas avec toi quant au sujet de la sexualité. L’important est qu’il ait une oreille adulte et bienveillante pour l’écouter, le conseiller. C’est parfois plus simple quand ce n’est pas le parent malgré tout …
Donc, ne te culpabilise pas si ton enfant ou ton ado ne souhaite pas t’en parler, cela reste un sujet délicat même avec les parents les plus cool qu’il soit !

Livres ressources

Il est important de commencer tôt à proposer ce type de livre mais, si tu ne l’as jamais fait, il n’est pas trop tard !!

Je te propose ici une petite sélection de livres que j’ai trouvés en faisant mes recherches de supports ou que j’ai moi-même utilisé :

  • Le trésor de Lilith, un conte sur la sexualité, le plaisir et le cycle menstruel de Carla Trepat Casanovas (dès 3 ans) ;
  • Le parcours de Paulo de Nicholas Allans et Isabel Finkenstaedt ;
  • La Naissance d’Agnès Rosenstielh (3 ans et +) ;
  • Les livres de la collection Max et Lili (3 à 15 ans) : mes enfants adoraient ! Ils sont utilisés par les psy  ;
  • C’est ta Vie ! de Thierry Lenain (6 ans et +) ;
  • Zizettes d’Edwige Planchin (à partir de 6-7 ans) ;
  • Le guide du Zizi sexuel – Nouvelle Edition – d’Hélène Bruller, illustrations de PEF (dès 9 ans) : mon fils a l’ancienne version et je l’ai offerte à mon « beau-fils également. j’ai adoré l’humour au service d’une cause très sensible !
  • Stella et le cercle des femmes – Rituel de passage d’une adolescente de Maïtie ; TRELAUN (dès 9 ans) ;
  • Le guide du zizi sexuel de Zep et Hélène Bruller (9-13 ans) ;
  • Je me défends du Sexisme d’Emmanuelle Piquet et Lisa Mandel (à partir de 10/11 ans) ;
  • Femme désirée, Femme désirante (Adultes) du Dr Danièle Flaumenbaum : j’ai beaucoup aimé ce livre et ma rencontre avec l’autrice lors d’une de ses conférences, c’est ce livre qui m’a guidée ;
  • “Osez en parler” de Maëlle Chalan Belval (Adultes) ;
  • Parler du porno à ses enfants avant qu’Internet ne le fasse d’Anne de Labouret et Christophe Butstraen (Adultes) ;
  • Tu seras un Homme Féministe mon fils d’Aurélia Blanc (Adultes).
Si tu veux nous partager tes livres préférés du sujet, fais-toi plaisir,
dans les commentaires
et pour les auteurs, n’hésitez pas à me contacter
que je mette le lien direct sur l’article et que je parle de votre livre !!
 

Fais-toi confiance, ne te prends pas la tête, expérimentes l’approche qui te convient le mieux et adapte-la à tes enfants.

Besoin d’aide dans ta parentalité ?
contacte-moi pour un accompagnement personnalisé.

Normalement, nous, les adultes, devrions encore être capables de pleurer quand cela est nécessaire. Mais nombre d’entre nous a été dressé à ne pas montrer ses émotions (oui, tu sais les fameux : « ce sont les filles qui pleurent », « ça n’est rien »,  « t’es grand, tu ne vas pas pleurer pour ça » ou « tu vas dans ta chambre si tu continues » voire « je t’en colle une si tu continues » …).

Nous avons, donc, nous-mêmes parfois du mal à reconnaître et à nommer ces émotions qui nous traversent ! Accompagner nos enfants dans ces moments peut, donc, parfois être vraiment très difficile !

Nous avons, nous aussi, des besoins dont il  faut prendre soin pour pouvoir nous occuper de nos enfants, alors n’oublie pas de penser à toi !! C’est primordial !! Un peu comme le masque à oxygène dans un avion qui risque de s’écraser (oui, je sais l’image est un peu extrême mais … la situation peut l’être à ce point !).

Demander de l’aide est un acte de courage, de responsabilisation et d’amour pour ton enfant qui te permettra de sortir plus rapidement et durablement des problèmes que tu traverses.  Beaucoup de parents, d’adultes n’osent pas, trouvent cela humiliant, ne veulent pas voir les choses en face, leur responsabilité et encore moins, remuer le passé qui est, généralement, la source des problèmes présents. Nos chérubins sont là pour nous réveiller, nous faire grandir afin de les accompagner au mieux sur leur propre chemin. J’en parlerai dans un prochain article.

Besoin d’aide pour surmonter tes difficultés, 
trouver tes solutions pour gérer les pleurs de ton/tes enfants ?

contacte-moi pour un accompagnement personnalisé.

J’espère que cet article t’aura éclairé(e) sur le sujet !


Je suis curieuse de savoir quelle clé t’a le plus aidé(e). Partage-le nous dans les commentaires !


Je te remercie de m’avoir lue jusqu’au bout et de devenir ainsi l’acteur/l’actrice d’un monde meilleur ! Si tu as envie d’aller encore plus loin pour faire de ce monde un monde meilleur, aide une personne de ton entourage en lui partageant cet article.

A très bientôt !!

Mes ateliers Montessori, soutien scolaire ludique

En 2015, Je me suis littéralement « jetée » dans l’instruction en famille (= IEF), sans savoir à quoi ça me mènerait. J’ai retiré mon fils du système scolaire, envers et contre tous (son père, l’école et l’état). Ceci pendant 2,5 ans pour préserver sa santé mentale et physique que son école mettait clairement en danger. Mon

Lire la suite »

Pleurs des bébés : les comprendre pour les calmer

Lorsque  mes enfants, mes bébés pleuraient, j’étais totalement retournée et cela pouvait durer des heures, à tel point que je ne pouvais plus les poser (de peur de les entendre à nouveau pleurer et de ne pas réussir à les calmer !).  La fatigue et le ras le bol de ne plus avoir de place,

Lire la suite »
Retour en haut