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Pleurs des bébés : les comprendre pour les calmer

Lorsque  mes enfants, mes bébés pleuraient, j’étais totalement retournée et cela pouvait durer des heures, à tel point que je ne pouvais plus les poser (de peur de les entendre à nouveau pleurer et de ne pas réussir à les calmer !).  La fatigue et le ras le bol de ne plus avoir de place, de ne plus savoir quoi faire étaient bien présents mais, même si je ne comprenais pas toujours pourquoi, j’ai toujours senti qu’ils avaient une bonne raison de pleurer… 
Pour autant, j’ai du mettre en place des solutions pour éviter leurs larmes et leurs hurlements (de nuit comme de jour) et, j’avoue que ça a plutôt bien fonctionné même si j’ai pas mal tâtonné !

et toi, Comment le vis-tu ?
Aimerais-tu avoir des éclaircissement sur ce point,
pouvoir mieux comprendre les pleurs de ton enfant
pour le calmer plus rapidement et plus efficacement,
dans le respect des besoins de chacun ?

Quel que soit notre âge, 

les pleurs traduisent une émotion, envoient aux autres un message.

C’est donc un moyen de communication souvent réflexe et donc involontaire.

 

Pour les bébés, c’est le dernier moyen d’expression et le plus efficace qu’ils utilisent pour nous faire part de leurs besoins.

Un Bébé ça pleure tout le temps !

C’est une fausse croyance, hélas, bien ancrée et qui fait beaucoup de dégâts car elle dénigre totalement ce que peut vivre le nourrisson.

Durée moyenne normale des pleurs chez un bébé : 2 à 3H/jour.

25% des nourrissons pleureraient plus de 3H par jour ! Sans compter les bébés malades, RGO (Reflux Gastro-Œsophagiens) ou Aux Besoins Intenses (BABI).

Rappelons comme je le dis souvent que, pour le tout petit d’Homme, tout est nouveauté et donc potentiellement danger …
Au tout début de sa vie, le bébé va donc pleurer fréquemment et pourra également s’apaiser rapidement avec l’aide de l’adulte.

Le pic des pleurs serait atteint aux alentours des 6 à 8 semaines (entre 2 mois ½ et 3 mois) jusqu’à ses 12 semaines environ (4 mois).

Mais pour autant, faut-il attendre que ça passe tout seul ?? Quel est le risque à laisser pleurer un bébé (le sien ou celui/ceux dont on prend soin) ou ne pas agir pour que la fréquence et l’intensité des pleurs diminue ?

Ton bébé tente de te manipuler !

Et Bim !! 2e fausse croyance ! Qui n’a pas entendu cette ânerie ?! (Oui désolée … ça m’énerve !!)

Certains pensent que le bébé teste ses parents, dès tout petit.
Hors, son développement cérébral ne le lui permet pas un schéma si complexe de pensées. Donc, oublie la manipulation ou les caprices, c’est physiologiquement impossible ! 

Ce mécanisme de manipulation ne peut s’envisager que tardivement, bien après sa 1e année. Il s’élabore dans le cortex préfrontal et celui-ci dans les 3 premières années n’a pas assez de connexions neuronales (= synapses) pour le lui permettre.

Ces connexions se font justement à chaque nouvelle expérience.
Donc, dans le cas des pleurs, l’enfant exprime un BESOIN réel, une peur ou un mal être physique ou psychique que toi, adulte, présent à ses côtés, est le seul à pouvoir combler. Tu seras, donc, la/le seul(e) à pouvoir lui apporter du réconfort et lui faire comprendre que tu es présent pour lui, que tu as entendu son mal-être et que tu y réponds ou tentes d’y répondre le plus rapidement possible et avec tes moyens.

De la même manière qu’il est impossible que l’enfant fasse de la manipulation, il est impossible de trop le gâter, en le rassurant.
En effet, à chaque fois que nous répondrons à sa détresse, il trouvera quelqu’un pour le calmer, le soutenir, le rassurer et combler le besoin qu’il exprime. Ainsi, il apprendra, petit à petit :

  • à avoir confiance en ses ressentis,
  • à se calmer par lui-même car il saura qu’il peut compter sur vous, en toutes circonstances, et ne se sentira plus seul face à ses peurs.
  • à temporiser ses besoins car il en connaîtra l’issue (non fatale).

Les différents pleurs

Comment savoir pourquoi ton bébé pleure ?

Sais-tu qu’il y a différents pleurs ? Même si ça ne paraît pas évident, une fois que tu auras lu cela, tu arriveras déjà à mieux les distinguer …

Il y a différents pleurs selon le besoin exprimé (faim, coliques, inconfort, ennui, peur, douleur, défoulement, colère, etc).

L’intensité indique le niveau de détresse du bébé (rappelle-toi, qu’il a déjà sonné l’alarme de manière douce mais qu’il n’a pas été entendu … Il est donc, déjà, en stress quand il commence à pleurer).

Vers 3 mois, les pleurs se différencient plus facilement :

  • Faim : pleurs qui augmentent en volume et en rythme petit à petit si pas de réponse ;
  • Douleur : pleurs très aigus, perçants, courts ;
  • Ennui, inconfort, fatigue : pleurs doux par intermittence mais qui peuvent déboucher sur des pleurs plus forts et plus longs si sans réponse.

La physionomie de l’enfant peut également indiquer ce qu’exprime l’enfant :

  • Peur : yeux grands ouverts,
  • Douleur : yeux fermés,
  • Colère : yeux à ½ ouverts.

Fastoche, hein ?! Ah mais oui, il va falloir observer un peu plus ton bébé si ce n’est pas déjà le cas pour mieux capter son message et ce plus rapidement aussi !
Plus tu agiras vite, plus vite les pleurs cesseront et les crises s’espaceront … 

Si tu as du mal à calmer ton enfant, à le supporter lors de ses crises, 
je peux t’aider !

Comment calmer la crise, apaiser bébé

Comme nous l’avons évoqué plus haut, il est primordial de répondre aux pleurs et ce, quel que soit l’âge (oui, oui, même avec les grands nettement plus âgés !).

Connaître l’enfant qui pleure permet de mieux savoir comment réagir et lui, se calmera plus facilement avec une personne connue.
Il est, donc, nécessaire de prendre des temps avec l’enfant, de créer avec lui une relation, dès sa naissance.
Chez les petits, l’angoisse de la séparation, qui survient entre 8 et 12 mois, peut être génératrice de pleurs. D’où l’importance, dans les crèches ou chez les assistantes maternelles, de temps d’adaptation (autant pour l’enfant que pour l’adulte) assez long.

Il serait bon que ce soit, également, le cas dans les maternelles et que  :

  • l’enfant puisse garder la même maîtresse durant ses 3 premières années scolaires ;
  • que l’un des parents puissent rester quelques heures voire matinées en classe, avant de laisser son enfant dans un lieu quasiment inconnu avec des enfant, des adultes, des odeurs et des sons inconnus …

Petites idées de réponses aux pleurs :

  • Parle à ton enfant doucement et rassure-le (en voiture, pendant que tu t’occupes d’un autre enfant, etc) ;
  • Prends-le dans tes bras en le soutenant par ses fesses et non pas par les aisselles (le sécuriser physiquement, cela évitera un inconfort supplémentaire à sa détresse et ton dos te remerciera !) ;

Si tu ne peux pas le prendre dans tes bras, mets-le contre toi dans un porte-bébé physiologique (les genoux doivent être remontés, le dos doit pouvoir s’arrondir et les mains libres et accessibles pour sa bouche).

  • Vérifie que ses besoins soient tous comblés (sommeil, faim/soif, change, environnement sonore et olfactif, succion, jeux) et adapte ta réponse en fonction ;
  • Donne-lui le sein, un biberon d’eau/de lait ou une tétine ou laisse-le sucer ses doigts/sa main ;
  • Donne-lui son doudou ou un tissu portant ton odeur (celle des parents) ;
  • Baladez-vous, ensemble, soit dans la maison, soit dehors si ça ne suffit pas : le changement d’air parfois amène le bébé à penser à autre chose et c’est peut-être ça que l’enfant réclamait (un peu de changement, ça fait du bien !). Continue à lui parler gentiment et ne le repose pas de suite !
  • Si cela ne convient pas et que les pleurs s’accentuent, masse-lui le ventre ou replie ses jambes en position fœtale dans tes bras (sans porte-bébé), la position allongée sur un bras, le ventre contre ton avant-bras fonctionne bien aussi ;
  • Chante !!
  • Respire profondément et tranquillement (en gardant l’enfant contre toi) pour qu’il puisse se caler sur ta respiration ;
  • Pour les grosses, méga crises : maintiens le thorax de l’enfant contre toi ou ta main, puis frotte son dos (technique d’Isabelle Filliozat) ;
  • Fais-lui penser à autres chose : leur cerveau est assez malléable et passe facilement d’un état émotionnel à un autre. Bien entendu, avant fais-lui savoir que tu as entendu qu’il ne se sentait pas bien et que tu cherches à l’apaiser ;
  • Dis-lui que tu l’aimes, qu’il peut compter sur toi même si tu n’arrives pas à le calmer. Tu fais de ton mieux et il le sait !
  • Sois créative(if) !!!

Les mouvements combinés aux massages procurés par le corps à corps (dans les bras et surtout un porte-bébé bien mis) apaisent énormément les bébés et leur permettent d’évacuer les tensions accumulées.

Les bébés n’aiment pas être le centre de l’attention, ils préfèrent, au contraire, participer à tout ce que l’on fait, nous, les adultes, d’où l’intérêt des porte-bébés qui te permettront de faire ce que tu as à faire en lui permettant d’y assister. Ton bébé/enfant sera ravi de s’investir à sa façon !!

S’ils sont régulièrement portés correctement, les pleurs (pleurs du soir notamment) s’atténueront car il ne sera pas resté inactif et aura donc moins besoin de passer par des pleurs de décharge en soirée, voire une partie de la nuit. Attention aux douleurs engendrés par un portage mal fait …
Nos bébés actuels sont trèèèès, troop inactifs … Eux aussi ont besoin de bouger en journée (presque plus que nous, d’ailleurs !!!!).

Et quand je n'en peux plus de l'entendre pleurer ?

Je ne sais pas quel parent n’a pas eu, au moins 1 fois, l’envie de passer son enfant par la fenêtre (ouh la, la, je vais me faire des ennemis moi, là !!). Oui, on passe quasiment tous par là, hélas.
Bien évidemment, il ne faut pas passer à l’acte mais, dans ces moments-là, on est à 2 doigts de le faire.
C’est souvent, dans ces moments que l’on s’autorise (hélas, mille fois hélas !) à donner une fessée …

Mais ça ne résout rien ! Comme si l’enfant allait y comprendre quelque chose … Ben Voui, quoi ! Rappelle-toi, son cerveau … il est totalement immature. A force, le seul truc que ça lui enseignera c’est que lorsqu’un comportement dérange quelqu’un, celui-ci a le droit de frapper, d’être violent envers celui qui le dérange … Cool, hein ! Exactement ce qu’on veut à tout prix éviter !!

DONC, Il est très important de garder ton calme, dans ces moments, car l’adrénaline sécrétée lors du stress est contagieuse et si nous nous énervons, nous stressons l’enfant, encore plus, au lieu de le calmer. Si l’enfant, malgré tout ne se calme pas, que tu es à bout de nerf, il vaut mieux poser ton chérubin ou le confier à quelqu’un d’autre. Tu risques de t’énerver et de lui faire/dire du mal.

Si jamais cette situation se produit et que tu es seul(e) :

  • Parle-lui et explique-lui la situation en quelques mots (tu ne sais plus quoi faire ; tu as peur de lui faire du mal et tu préfères le laisser, un instant, que d’en arriver là ; qu’il n’est pas responsable mais que tu vis mal la situation, que tu viens le rechercher dès que tu le peux donc dans quelques minutes) ;
  • Pose l’enfant au sol (sur son tapis d’éveil par exemple) ou dans son lit ;
  • Sécurise-le (qu’il ne puisse pas s’étouffer, se couper, s’électriser, s’intoxiquer, tomber ou faire tomber quelque chose sur lui, se faire agresser par un animal ou un autre enfant) ;
  • Appelle quelqu’un qui pourra venir vite et/ou t’aider, t’apaiser et si tu ne peux appeler personne, contacte ce numéro :
    0 800 003 456 (Allo Parents Bébés) service et appel gratuit d’Enfance et Partage.

Oui, ce court métrage dépeint la réalité. Si les personnes de ton entourage ne comprennent pas ce que tu vis, n’hésite pas à leur partager cet article, cette vidéo.

Attention ne secoue jamais ton bébé car cela pourrait  lui causer des lésions cérébrales irréversibles (même légères et qui pourraient s’avérer graves voire mortelles pas forcément immédiatement).

tu comprendras mieux avec cette vidéo ce qui peut se passer au niveau du cerveau et des nerfs chez le bébé secoué, même légèrement …

Eviter les pleurs, c'est possible !

Il est impossible d’éviter les pleurs, totalement, mais nous pouvons les éviter au maximum. En pensant à ces 9 sources de stress :

  • L’inconfort : prends soin du confort auditif, visuel, olfactif et tactile de ton tout petit. Par exemple, un bébé fait généralement pipi au réveil de manière systématique et il est nécessaire de le changer environ 5 à 8 fois dans la journée.  Les bébés aiment être les fesses à l’air.
  • Le moment : Lorsque tu sorts, prends conscience de l’heure, du moment auquel vous sortez et voit si ça ne vient pas en opposition avec un besoin de ton enfant. Le porte-bébé est génial pour ça, d’ailleurs !!
  • Le sentiment de sécurité : autant physique, qu’affectif, ton enfant a besoin de se sentir aimé, quel que soit son comportement, sa personnalité. Mais, il a besoin, aussi, de se sentir physiquement en sécurité et confortable lorsque quelqu’un le prend. Dans tous mes cours de portage, j’enseigne aux parents et aux professionnels comment porter l’enfant. Il est important qu’il soit bien maintenu afin qu’aucun inconfort, aucune peur ne viennent se greffer sur le souci qu’il traverse, justement à ce moment-là. Mais le manque de sécurité venant de tous nos sens (environ 9, si, si et parfaitement reconnus de tout un chacun !), la sécurité est à envisager à chaque instant que le petit d’homme vit : son sommeil, ses repas, ses temps de jeux, etc … Tous mes accompagnements et mes formations ont pour objectif de travailler sur le sentiment de sécurité du bébé, d’ailleurs !
  • La frustration : éviter d’en créer de nouvelles en adaptant l’environnement aux capacités motrices de l’enfant. Si tu as peur pour certains objets, pendant un moment, il te faudra les ranger en-dehors de sa vue. Tout ce qu’il voit, il doit pouvoir le manipuler, cela t’évitera de dire « non » continuellement. Quand tu devras impérativement partir, penses-y à l’avance et informe-le plusieurs fois, évite de lui faire démarrer une activité qu’il ne pourra pas finir. S’il y a séparation, de la même manière, préviens-le, fais en sorte qu’il connaisse et apprécie la personne qui le garde et rassure-le en lui donnant des repères dans le temps, quelque soit son âge, pour ton retour.
  • La peur : Rassure ton enfant autant que possible, prend-le dans tes bras et respire calmement, nomme ses émotions.
  • Les actes médicaux : Si tu es professionnel de la santé, que tu dois accomplir un acte médical et que l’enfant n’est pas d’accord. Demande au parent de l’apaiser gentiment. Adresse-toi, également, à l’enfant sans lui mentir. Si l’acte (vaccin, désinfection voire couture d’une petite plaie, etc) peut être fait sur les genoux des parents, voire même dans leurs bras, l’enfant sera encore plus détendu (si le parent l’est aussi …). Fais en sorte que l’enfant puisse toujours être en contact avec son parent, le mieux étant d’être porté par lui.
  • La fatigue/le réveil : il n’est pas nécessaire que l’enfant ait un lit à barreaux car il se sentira emprisonné et dépendant de vous, les parents, dans celui-ci.  Bien entendu, il faudra sécuriser la maison selon les capacités de ton enfant. Autre possibilité, le cododo (dormir avec son/ses enfants dans la même chambre tant que l’enfant le réclame) : chacun peut avoir son espace, son lit, le fait de dormir ensemble dans la même pièce est une nécessité pour les bébés qui viennent de passer 9 mois dans le ventre de maman. Il existe d’autres alternatives comme faire dormir la fratrie ensemble. Pour le quotidien, le portage est un merveilleux atout car l’enfant dort contre vous et est complètement sécurisé où qu’il soit (enfin presque !!)
  • L’ennui peut aussi être évité, bien qu’il soit aussi nécessaire à un bon développement. Le portage y répond d’ailleurs fort bien. Mais également les moments de jeux ou d’échanges avec votre enfant quel que soit son âge.
  • La communication : dès 6 mois, un enfant est capable de communiquer quelques mots par gestes. Apprenons-leur dès leur naissance. Cela facilitera la vie de tous !!

Et moi alors, dans tout ça ?!

Normalement, nous, les adultes, devrions encore être capables de pleurer quand cela est nécessaire. Mais la majorité d’entre nous a été dressée à ne pas montrer ses émotions (oui, tu sais les fameux : « ce sont les filles qui pleurent », « ça n’est rien »,  « t’es grand, tu ne vas pas pleurer pour ça » ou « tu vas dans ta chambre si tu continues » voire « je t’en colle une si tu continues » …).

Nous avons, donc, nous-mêmes parfois du mal à reconnaître et à nommer ces émotions qui nous traversent ! Accompagner nos enfants dans ces moments peut, donc, parfois être vraiment très difficile !

Nous avons, nous aussi, des besoins dont il  faut prendre soin pour pouvoir nous occuper de nos enfants, alors n’oublie pas de penser à toi !! C’est primordial !! Un peu comme le masque à oxygène dans un avion qui risque de s’écraser (oui, je sais l’image est un peu extrême mais … la situation peut l’être à ce point !).

Demander de l’aide est un acte de courage, de responsabilisation et d’amour pour ton enfant qui te permettra de sortir plus rapidement et durablement des problèmes que tu traverses.  Beaucoup de parents, d’adultes n’osent pas, trouvent cela humiliant, ne veulent pas voir les choses en face, leur responsabilité et encore moins, remuer le passé qui est, généralement, la source des problèmes présents. Nos chérubins sont là pour nous réveiller, nous faire grandir afin de les accompagner au mieux sur leur propre chemin. J’en parlerai dans un prochain article.

Besoin d’aide pour surmonter tes difficultés, 
trouver tes solutions pour gérer les pleurs de ton/tes enfants ?

contacte-moi pour un accompagnement personnalisé.

J’espère que cet article t’aura éclairé(e) sur le sujet !


Je suis curieuse de savoir quelle clé t’a le plus aidé(e). Partage-le nous dans les commentaires !


Je te remercie de m’avoir lue jusqu’au bout et de devenir ainsi l’acteur/l’actrice d’un monde meilleur ! Si tu as envie d’aller encore plus loin pour faire de ce monde un monde meilleur, aide une personne de ton entourage en lui partageant cet article.

A très bientôt !!

Pleurs des bébés : les comprendre pour les calmer

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